Des partiels sans stress, c’est possible !

  • Université
  • Examens
Des partiels sans stress, c’est possible !

Ventre noué, angoisse, impression d'avoir tout oublié ou d'être totalement débordé...  Comment lutter contre ces symptômes pré-examens et bien reviser ? Voici quelques conseils pour limiter votre stress.

Travailler pour être moins stressé aux examens

Les conseils les plus simples sont souvent les meilleurs. Une méthode infaillible face au stress : le travail. Rosalie, en 1re année d’économie, en a fait son crédo : « Si tu ne révises pas, tu seras stressé ». Pour se sentir rassuré lors des partiels, rien de tel que de bien les préparer afin d'éviter les mauvaises surprises. Grâce à de solides révisions, vous ne serez pas dépassé par les événements et vous aborderez en confiance le sujet d’examen.

Notre conseil : les fiches sont un bon moyen de vous rassurer en testant rapidement vos connaissances sur un sujet.

Se faire confiance 

Prenez de la distance avec l’examen et relativisez. Les partiels attestent des connaissances que vous avez acquises durant le semestre.

Selon Bastien Brignon, maître de conférences en droit commercial, « l’idéal serait un système de notation en contrôle continu, sans partiels. Mais on se rend compte que sans partiels, il n’y a pas de révisions ». Avoir l’impression d’avoir tout oublié peut arriver. Utilisez vos fiches pour vous rassurer. Vous verrez, le cours vous reviendra. Sinon, prenez le temps de revoir la partie du cours qui vous fait défaut.

Ressortir renforcé des épreuves 

Les examens ne sont pas faits pour vous piéger. Ils ont même des vertus souvent insoupçonnées. Ils vous testent, par exemple, sur votre endurance ou encore votre capacité à gérer votre stress. Autant de qualités utiles pour l’avenir : passer des tests et des entretiens de recrutement, gérer un premier job, assumer des responsabilités... Le passage d'examen et le stress qui l'accompagne peuvent même parfois être une source supplémentaire de motivation.

Partir gagnant pour réussir

« Il faut partir gagnant ! Même si on a le sentiment d'être une petite fourmi face à une immense montagne, il faut se faire confiance et croire en sa bonne étoile », insiste Eudoxie Gallardo, maître de conférences en droit pénal. Il est important de dédramatiser la situation et de se poser. Après tout, d’autres sont déjà passés par là et ont réussi. Et, même en cas d’échec, plusieurs systèmes de compensation et de rattrapage existent pour que votre année soit validée.

La rédaction © CIDJ
Article mis à jour le 19-10-2015 / créé le 16-10-2015